The very survival of civilization depends on a rapid conversion to 100% Renewable, Green Energy. That means No New Pipelines. The big drop in the price of oil presents a golden opportunity to oppose pipeline construction, to re-tool, and to implement green energy conversion by investment in wind, hydro, wave energy, solar, geothermal and biomass alternatives.
The NDP should endorse the principles of the Leap Manifesto. These include: respecting indigenous people’s rights, a green energy shift to a 100% clean economy by 2050, creating collectively controlled new clean energy systems, replacing “austerity” with higher taxes on corporations and wealthy people, ending fossil fuel subsidies and cutting military spending, and investing in retraining, social housing, childcare, and localized, ecologically-based agriculture.
Seeking the broadest possible public discussion, we need to advocate a gigantic energy shift. At the same time, indigenous peoples’ rights and their agreement to development is a non-negotiable prerequisite. Workers displaced by the move away from carbon-based systems should be re-trained and offered the first jobs in the new green energy economy.
Énergie : un bond vers l’avant
La survie même de la civilisation dépend de la conversion rapide de notre énergie en une énergie renouvelable à 100%, une énergie verte. Cela veut dire aucun nouvel oléoduc. La forte chute du prix du pétrole est une occasion en or de s’opposer à la construction de pipelines, de réorganiser et de prendre les mesures nécessaires pour passer à une énergie verte en investissant dans les alternatives éolienne, hydraulique, solaire, géothermique, marée motrice et biomasse.
Le NPD devrait endosser les principes du Manifeste Un bond vers l’avant (Leap Manifesto). Il s’agit notamment: de respect des droits des peuples autochtones, de virage vers une énergie verte et propre à100% d’ici 2050, de création de nouveaux systèmes d’énergie propre contrôlés par la collectivité, de remplacer l’austérité en imposant plus lourdement les grandes sociétés et les riches, d’en finir avec les subventions pour les énergies fossiles, de couper dans les dépenses militaires et d’investir dans la formation continue, dans les logements sociaux, la garde d’enfants et l’agriculture locale et écologique.
Cherchant à élargir le plus possible la discussion publique, nous devons préconiser un brusque virage énergétique. Il va sans dire que les droits des peuples autochtones et leur accord au développement sont des prérequis non négociables. Les travailleurs déplacés par l’abandon des systèmes à base de carbone devraient avoir accès à une nouvelle formation et aux premiers emplois dans la nouvelle économie de l’énergie verte.